Sur la commune de Lazer, dans les Hautes-Alpes, EDF a installé 20 MW de panneaux photovoltaïques flottants ce qui permet de combiner production hydraulique et solaire. © R. Flament
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L’éolien et le photovoltaïque seront aux premières loges dans l’enceinte des stades Orange Vélodrome à Marseille, Allianz Riviera à Nice et de la nouvelle marina olympique marseillaise pour les prochains Jeux Olympiques. Exit les groupes électrogènes traditionnels qui tournaient au fuel. « Nous nous engageons aux côtés du Comité d’organisation des JO (Cojo) à faire de Paris 2024, les jeux les plus sobres de l’histoire. Nous avons identifié huit sites EDF de production d'électricité en France qui vont alimenter les lieux des épreuves », explique Frédéric Busin, directeur à l’action régionale du groupe EDF en Provence-Alpes Côte d’Azur. Sauf pour Nice, car avec ses 4 000 panneaux solaires installés en toiture, le stade niçois est autonome énergétiquement.
Sur la commune de Lazer, dans les Hautes-Alpes, l'énergéticien a installé récemment 20 MW de panneaux photovoltaïques flottants et combine ainsi les deux modes de production, hydraulique et solaire. « C’est la première centrale solaire flottante d’EDF en France », souligne Frédéric Busin. Grâce à un logiciel développé en interne (dont EDF possède les droits et qu'elle envisage bientôt de commercialiser) des trackers adossés à la technologie blockchain permettent de certifier l’origine de l’électricité produite. « À chaque instant, grâce à ces trackers, nous pourrons certifier ce qui est produit et consommé sur chacun des sites des JO, au stade Vélodrome, sur le site de la marina olympique tout comme au stade Allianz Riviera », ajoute-t-il.
Sur la commune de Lazer, dans les Hautes-Alpes, l'énergéticien a installé récemment 20 MW de panneaux photovoltaïques flottants et combine ainsi les deux modes de production, hydraulique et solaire. « C’est la première centrale solaire flottante d’EDF en France », souligne Frédéric Busin. Grâce à un logiciel développé en interne (dont EDF possède les droits et qu'elle envisage bientôt de commercialiser) des trackers adossés à la technologie blockchain permettent de certifier l’origine de l’électricité produite. « À chaque instant, grâce à ces trackers, nous pourrons certifier ce qui est produit et consommé sur chacun des sites des JO, au stade Vélodrome, sur le site de la marina olympique tout comme au stade Allianz Riviera », ajoute-t-il.
EDF investit le Cercle des nageurs durant les JO
Partenaire premium des JO, EDF est aussi partenaire du Cercle des nageurs de Marseille (CNM) depuis dix ans. Le producteur d'électricité a choisi de privatiser, de mai à septembre, un des salons du CNM pour inviter les acteurs économiques et les partenaires à vivre ensemble l'événement JO et bénéficier de visites organisées des sites phares de sa production (la centrale de Triscatin, la boucle de thalassothermie Massileo, la calanque de Podestat…). Le grand public sera pour sa part convié à découvrir le stand EDF sur le Prado.
A quelques encablures de là, une piscine de 32 m de long sera installée en pleine mer les 22 et 23 juin prochains. Ce dispositif sera complété par quatre bassins mobiles destinés à favoriser l’apprentissage de la natation auprès des jeunes. « Nous avons des valeurs communes à celles des JO en matière de mixité, d’inclusion et d’éducation. A ce titre, nous portons une opération importante d’apprentissage à la nage pour les jeunes marseillais, "1,2,3 Nagez !", avec des opérations emblématiques. Un enfant sur deux ne sait pas nager à son entrée en sixième. La noyade est la première cause des accidents domestiques en France », déplore Frédéric Busin.
D’autres actions sont également engagées notamment auprès de la fédération régionale d’handisport ou encore à travers le programme « Un champion dans mon école » qui favorise la rencontre avec les champions paralympiques de la Team EDF.
Le processus de décarbonation initié par EDF grâce aux JO 2024 pourrait fort se poursuivre en 2030, l’énergéticien ayant déjà signé une lettre d’intention, résolu à soutenir la candidature conjointe des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur aux JO d'hiver.
A quelques encablures de là, une piscine de 32 m de long sera installée en pleine mer les 22 et 23 juin prochains. Ce dispositif sera complété par quatre bassins mobiles destinés à favoriser l’apprentissage de la natation auprès des jeunes. « Nous avons des valeurs communes à celles des JO en matière de mixité, d’inclusion et d’éducation. A ce titre, nous portons une opération importante d’apprentissage à la nage pour les jeunes marseillais, "1,2,3 Nagez !", avec des opérations emblématiques. Un enfant sur deux ne sait pas nager à son entrée en sixième. La noyade est la première cause des accidents domestiques en France », déplore Frédéric Busin.
D’autres actions sont également engagées notamment auprès de la fédération régionale d’handisport ou encore à travers le programme « Un champion dans mon école » qui favorise la rencontre avec les champions paralympiques de la Team EDF.
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