Le 1er avril, la toute première boutique « La Madeleine de Marseille » a ouvert aux Cinq Avenues. ©NBC
Après avoir rempli des tas de tableaux Excel, testé une cinquantaine de recettes différentes, de type de cuisson, de moule, fait goûter à l’aveugle amis et famille, Nicolas Voog, a conçu la madeleine parfaite.
Légère, parfumée, fondante, elle ne colle pas aux mains et enchante le palais. Sa consommation devient rapidement addictive : cannelle, pistache, citron, chocolat de Sao Tomé… Le 1er avril, la toute première boutique « La Madeleine de Marseille » a ouvert aux Cinq Avenues. Chaque jour, plus d’un millier de madeleines sont écoulées et régalent les papilles des Marseillais et des touristes de plus en plus nombreux.
À 56 ans, cet ancien banquier et loueur de véhicules décide, en pleine pandémie, de changer de braquet. « J’ai toujours gardé à l’esprit, le « Merveilleux » de Fred, ce pâtissier lillois qui a eu l’idée de génie de commercialiser un seul gâteau. J’ai gambergé et j’ai pensé à la madeleine, cette spécialité que toutes les générations adorent. Je la voulais moelleuse et onctueuse et surtout pas étouffe chrétien », raconte Nicolas Voog.
Légère, parfumée, fondante, elle ne colle pas aux mains et enchante le palais. Sa consommation devient rapidement addictive : cannelle, pistache, citron, chocolat de Sao Tomé… Le 1er avril, la toute première boutique « La Madeleine de Marseille » a ouvert aux Cinq Avenues. Chaque jour, plus d’un millier de madeleines sont écoulées et régalent les papilles des Marseillais et des touristes de plus en plus nombreux.
À 56 ans, cet ancien banquier et loueur de véhicules décide, en pleine pandémie, de changer de braquet. « J’ai toujours gardé à l’esprit, le « Merveilleux » de Fred, ce pâtissier lillois qui a eu l’idée de génie de commercialiser un seul gâteau. J’ai gambergé et j’ai pensé à la madeleine, cette spécialité que toutes les générations adorent. Je la voulais moelleuse et onctueuse et surtout pas étouffe chrétien », raconte Nicolas Voog.
Rêve de franchise
Dès le premier jour, il est contraint de fermer à midi, plus une seule madeleine à vendre !
En un mois seulement, le bouche à oreille à fait son œuvre et la petite madeleine creuse son sillage et se retrouve dans des enseignes prestigieuses offertes aux clients. Restaurants, brasseries, professions libérales… En version mini avec un ballotin personnalisé, la « mado » séduit réellement la clientèle corporate : Porsche, Mauboussin, la compagnie du Ponant.
Le chef Alain Ducasse propose à la madeleine marseillaise de rejoindre un de ses prestigieux établissements au Louvre. Une consécration pour Nicolas Voog. « Tout est allé tellement vite ! », confie-t-il. Aujourd’hui, il avance prudemment et se donne quelques mois pour faire le point. Il rêve d’ouvrir un deuxième établissement à Marseille voire même une franchise.
En un mois seulement, le bouche à oreille à fait son œuvre et la petite madeleine creuse son sillage et se retrouve dans des enseignes prestigieuses offertes aux clients. Restaurants, brasseries, professions libérales… En version mini avec un ballotin personnalisé, la « mado » séduit réellement la clientèle corporate : Porsche, Mauboussin, la compagnie du Ponant.
Le chef Alain Ducasse propose à la madeleine marseillaise de rejoindre un de ses prestigieux établissements au Louvre. Une consécration pour Nicolas Voog. « Tout est allé tellement vite ! », confie-t-il. Aujourd’hui, il avance prudemment et se donne quelques mois pour faire le point. Il rêve d’ouvrir un deuxième établissement à Marseille voire même une franchise.