Aménagement - Immobilier
Axel Chay, designer én pleine croissance est basé dans le 16 eme arrondissement à Marseille
C’est au sortir d’une école de commerce à Lyon, qu’Axel Chay s’est lancé dans le design avec son frère artiste et Marouane Sadki, son premier associé avec lequel il crée le studio Nova Obiecta.
Une première expérience de meubles en édition limitée « pas toujours en phase avec les attentes du marché » le met sur la voie, note Axel Chay. Aujourd’hui en charge de son propre studio sous la marque Axel Chay, il continue à travailler avec son frère, à la production et sa femme Melissa, en charge de la communication. Ses best sellers ? Le lampadaire « Modulation », les appliques Coquillage et le tabouret "Septem" composé de tubes d'aluminium.
C’est lors d’une exposition à Arles chez Anne Carpentier pour un aménagement intérieur avec Marion Mailander, en 2020, que le designer a fait ses premières armes. Axel Chay ne se revendique d’aucune école, « Je produis et je créé des meubles, je ne veux pas définir mon identité, je refuse la notion de classification, chaque y voit tel ou tel style, on est tellement dans une digestion de tout ce qui a été fait ». Il reconnait cependant privilégier les matériaux comme l‘acier et l’aluminium, pour ses créations, fortes et inédites, aujourd’hui accessibles dans le monde entier, via son site, les réseaux sociaux ainsi que de nombreux distributeurs en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Avec des tarifs qui s’échelonnent entre 300 et 10 000 euros par pièce, Axel Chay n’entend pas être élitiste, il multiplie les collaborations chaque année, avec diverses marques, galeries et autres éditeurs en France et à l’international. Il entend aussi être partie prenante dans la décoration intérieure. Le fait d’être à Marseille est un plus. Nombre de clients sont sensibles à l’attractivité de la ville… « C’est une cité propice à la création, avec plus de place, de liberté de s’installer dans les quartiers que l’on souhaite. Cela contribue à un meilleur cadre de vie. Je ne me verrai pas vivre ailleurs ».
Le covid a contribué à l’expansion de la notoriété d’Axel Chay. Depuis l’entreprise continue sa croissance et, chaque année, le CA est doublé. L’équipe s’est renforcée avec 4 personnes. Reste à assurer une production qui monte en flèche et à gérer l’augmentation des coûts des matières premières. « Nous sommes très exclusifs dans le choix de nos circuits de distribution afin de répondre aux demandes ».
Une première expérience de meubles en édition limitée « pas toujours en phase avec les attentes du marché » le met sur la voie, note Axel Chay. Aujourd’hui en charge de son propre studio sous la marque Axel Chay, il continue à travailler avec son frère, à la production et sa femme Melissa, en charge de la communication. Ses best sellers ? Le lampadaire « Modulation », les appliques Coquillage et le tabouret "Septem" composé de tubes d'aluminium.
C’est lors d’une exposition à Arles chez Anne Carpentier pour un aménagement intérieur avec Marion Mailander, en 2020, que le designer a fait ses premières armes. Axel Chay ne se revendique d’aucune école, « Je produis et je créé des meubles, je ne veux pas définir mon identité, je refuse la notion de classification, chaque y voit tel ou tel style, on est tellement dans une digestion de tout ce qui a été fait ». Il reconnait cependant privilégier les matériaux comme l‘acier et l’aluminium, pour ses créations, fortes et inédites, aujourd’hui accessibles dans le monde entier, via son site, les réseaux sociaux ainsi que de nombreux distributeurs en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Avec des tarifs qui s’échelonnent entre 300 et 10 000 euros par pièce, Axel Chay n’entend pas être élitiste, il multiplie les collaborations chaque année, avec diverses marques, galeries et autres éditeurs en France et à l’international. Il entend aussi être partie prenante dans la décoration intérieure. Le fait d’être à Marseille est un plus. Nombre de clients sont sensibles à l’attractivité de la ville… « C’est une cité propice à la création, avec plus de place, de liberté de s’installer dans les quartiers que l’on souhaite. Cela contribue à un meilleur cadre de vie. Je ne me verrai pas vivre ailleurs ».
Le covid a contribué à l’expansion de la notoriété d’Axel Chay. Depuis l’entreprise continue sa croissance et, chaque année, le CA est doublé. L’équipe s’est renforcée avec 4 personnes. Reste à assurer une production qui monte en flèche et à gérer l’augmentation des coûts des matières premières. « Nous sommes très exclusifs dans le choix de nos circuits de distribution afin de répondre aux demandes ».
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