Les dirigeants de Candide entourés de Jacques Lecat (à droite) et de Benoît Lecat (à gauche). Photo©MOH
« Innocence, humilité, naïveté (assumée), optimisme, gentillesse, voilà les valeurs que nous défendons à travers trois axes : raison d’être, ambition et stratégie. Candide, nouveau nom du groupe, est le fruit du travail d’un an de 80 de nos salariés. Il recouvre cinq entités : Delta assurances, courtier conseil en assurances risques d’entreprises ; Çaassure, courtier spécialisé en assurance emprunteur ; baloo, gestionnaire et conseil en assurance santé et prévoyance ; kwote, solution intégrée dédiée au crédit management et QuickMS, éditeur de logiciel pour le contrôle de gestion sociale », explique Benoît Lecat, représentant de la quatrième génération à la tête de cette PME marseillaise.
Se définissant désormais comme « acteur de l’assurance et des services technologiques aux entreprises », Candide (350 salariés, CA 2020 : 30 M€) prévoit de réaliser un chiffre d’affaires de 43 M€ en 2023 et d’embaucher 150 collaborateurs dans les deux ans (80 personnes recrutées en 2021 dans la France entière). D’envergure nationale depuis 2007 avec une implantation parisienne, ce groupe indépendant (détenu à 100% par la famille Lecat), classé dans les quinze premiers courtiers français, compte bien se déployer à l’international (aujourd’hui 5% du CA) en 2023, en commençant par les pays limitrophes de l’Hexagone.
Son ambition va plus loin, puisqu’à l’horizon 2041, il espère avoir créé « un écosystème de 40 sociétés afin d’accompagner plus de 100 000 entreprises dans le monde ». En attendant cette échéance, 20 M€ sont investis sur la période 2018-2023 pour se transformer et croître, tout en développant l’intra et l’extra-entrepreneuriat qui encouragent la création de nouveaux métiers par ses propres équipes. Dans cet ordre d’idées, Candide est en train de relancer son incubateur initié juste avant l’apparition du Covid.
Très soucieux du bien-être de ses salariés qui pratiquent aussi bien le travail au bureau (équipé de salle de sport) que le télétravail, Candide veille à ce que ses cinq entités restent « dans une logique d’indépendance » tout en étant complémentaires. Alors que Benoît Lecat a pris les rênes de l’entreprise en 2015, son père, Jacques Lecat, qui la préside, souligne : « En 1991, nous étions 20. Si l’on m’avait dit qu’aujourd’hui je viendrai en jean commenter cette évolution de l’entreprise, avec des collaborateurs à Toulouse qui ne viennent pas au bureau, mais travaillent autrement… Je ne l’aurais pas cru ».
Se définissant désormais comme « acteur de l’assurance et des services technologiques aux entreprises », Candide (350 salariés, CA 2020 : 30 M€) prévoit de réaliser un chiffre d’affaires de 43 M€ en 2023 et d’embaucher 150 collaborateurs dans les deux ans (80 personnes recrutées en 2021 dans la France entière). D’envergure nationale depuis 2007 avec une implantation parisienne, ce groupe indépendant (détenu à 100% par la famille Lecat), classé dans les quinze premiers courtiers français, compte bien se déployer à l’international (aujourd’hui 5% du CA) en 2023, en commençant par les pays limitrophes de l’Hexagone.
Son ambition va plus loin, puisqu’à l’horizon 2041, il espère avoir créé « un écosystème de 40 sociétés afin d’accompagner plus de 100 000 entreprises dans le monde ». En attendant cette échéance, 20 M€ sont investis sur la période 2018-2023 pour se transformer et croître, tout en développant l’intra et l’extra-entrepreneuriat qui encouragent la création de nouveaux métiers par ses propres équipes. Dans cet ordre d’idées, Candide est en train de relancer son incubateur initié juste avant l’apparition du Covid.
Très soucieux du bien-être de ses salariés qui pratiquent aussi bien le travail au bureau (équipé de salle de sport) que le télétravail, Candide veille à ce que ses cinq entités restent « dans une logique d’indépendance » tout en étant complémentaires. Alors que Benoît Lecat a pris les rênes de l’entreprise en 2015, son père, Jacques Lecat, qui la préside, souligne : « En 1991, nous étions 20. Si l’on m’avait dit qu’aujourd’hui je viendrai en jean commenter cette évolution de l’entreprise, avec des collaborateurs à Toulouse qui ne viennent pas au bureau, mais travaillent autrement… Je ne l’aurais pas cru ».