Aménagement - Immobilier
De g à dr : Roland Kazan, dg de Formasup Méditerranée, Danielle Sionneau, directrice, Thierry Berger, président. Photo @aiostudiophoto
En dédiant un après-midi à l’événement, le 13 octobre dernier au WTC, avec apprentis (es) et responsables de formation, Formasup Méditerranée a tenu à montrer combien la mobilité internationale lui tenait à cœur. Plus important CFA de la région, partenaire des universités Aix-Marseille, Côte d’Azur, Toulon, Avignon, ainsi que de Centrale Méditerranée, l’Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN) et Sciences Po Aix, l’établissement, qui a fêté ses 30 ans en juin dernier, regroupe 7 700 alternants répartis dans 320 formations.
Convaincu que « les jeunes doivent pouvoir allier formation et mobilité internationale », selon les mots de son président, Thierry Berger, (il est en effet plus difficile pour un apprenti en alternance dans une entreprise de partir à l’étranger), l’établissement a créé en février 2020, FAME*, consortium agréé par Erasmus + jusqu’en 2027. Objectif ? Financer des projets de coopération pour trouver des partenaires dans le monde entier susceptibles d’accueillir les apprentis (es).
Le système fonctionne plutôt bien puisque, depuis sa création (avec un seul étudiant parti en plein Covid), il est passé de 18 apprentis (es) et 66 alternants (tes) partis (e) à l’étranger en 2020-21 à … 262 en 2022-2023. « L’objectif pour l’an prochain est de 500 départs, soit une augmentation de 80% », précise Danielle Sionneau, directrice de Formasup Méditerranée, en soulignant que « des relations ont été créées avec d’autres écoles en Espagne, au Portugal, etc ».
Alors que le budget global du programme Erasmus + est doté de 28 milliards d’euros pour la période 2021-2027, s’ajoutent aux bourses Erasmus +, les bourses OPCO (dédiées aux étudiants du secteur privé). Quant aux mobilités qui concernent le plus souvent l’Europe, mais parfois ailleurs… Elles peuvent être courtes -« hybrides », de 5 à 30 jours complétées par des activités virtuelles obligatoires-, ou plus longues, de 60 jours à 12 mois. A noter qu’actuellement un démarrage « d’apprentissage transfrontalier » est en train de se mettre en place, notamment avec l’Allemagne.
*Formasup apprenticeship for mobility in Europe
Convaincu que « les jeunes doivent pouvoir allier formation et mobilité internationale », selon les mots de son président, Thierry Berger, (il est en effet plus difficile pour un apprenti en alternance dans une entreprise de partir à l’étranger), l’établissement a créé en février 2020, FAME*, consortium agréé par Erasmus + jusqu’en 2027. Objectif ? Financer des projets de coopération pour trouver des partenaires dans le monde entier susceptibles d’accueillir les apprentis (es).
Le système fonctionne plutôt bien puisque, depuis sa création (avec un seul étudiant parti en plein Covid), il est passé de 18 apprentis (es) et 66 alternants (tes) partis (e) à l’étranger en 2020-21 à … 262 en 2022-2023. « L’objectif pour l’an prochain est de 500 départs, soit une augmentation de 80% », précise Danielle Sionneau, directrice de Formasup Méditerranée, en soulignant que « des relations ont été créées avec d’autres écoles en Espagne, au Portugal, etc ».
Alors que le budget global du programme Erasmus + est doté de 28 milliards d’euros pour la période 2021-2027, s’ajoutent aux bourses Erasmus +, les bourses OPCO (dédiées aux étudiants du secteur privé). Quant aux mobilités qui concernent le plus souvent l’Europe, mais parfois ailleurs… Elles peuvent être courtes -« hybrides », de 5 à 30 jours complétées par des activités virtuelles obligatoires-, ou plus longues, de 60 jours à 12 mois. A noter qu’actuellement un démarrage « d’apprentissage transfrontalier » est en train de se mettre en place, notamment avec l’Allemagne.
*Formasup apprenticeship for mobility in Europe
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