Provence Studios Marseille va s’installer sur 5 ha de l’ex-raffinerie Saint-Louis Sucre, dans le 15e arrondissement de Marseille. Photo©MOH
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Faire de la France le leader européen des tournages et des productions numériques via la constitution de pôles stratégiques régionaux. Tel est l’objectif de la partie culturelle, dotée de 350 M€, du plan « France 2030 ». Avec deux projets de studios de tournage labellisés sur la métropole Aix-Marseille Provence (sur 11 projets nationaux) et quatre projets de formation et formation numérique retenus, la filière cinéma déjà très active devrait se renforcer considérablement.
Côté studios de tournage, la structure Provence Studios installée à Martigues (26 000 m2 sur 22 ha de terrain) qui accueille bon nombre de tournages nationaux et internationaux va s’agrandir pour passer de « 10 à 17 studios d’ici 2025-26 », précise Olivier Marchetti, son créateur et dirigeant. Par ailleurs, alors que son implantation dans le 15earrondissement de Marseille sur le site de l’ancienne raffinerie de sucre Saint-Louis était en bonne voie, son projet d’acquisition de terrain est confirmé. « Nous occuperons 5 ha sur les 10 ha de l’ex-usine : studios, bassin de tournage sous-marin, espace de construction de décors et 6 000 m2de bâtiments réhabilités ou construits dédiés à la formation des jeunes afin que ces derniers soient au plus proche des espaces techniques », poursuit-il. Le tout pourrait être opérationnel fin 2024 ou courant 2025.
Côté studios de tournage, la structure Provence Studios installée à Martigues (26 000 m2 sur 22 ha de terrain) qui accueille bon nombre de tournages nationaux et internationaux va s’agrandir pour passer de « 10 à 17 studios d’ici 2025-26 », précise Olivier Marchetti, son créateur et dirigeant. Par ailleurs, alors que son implantation dans le 15earrondissement de Marseille sur le site de l’ancienne raffinerie de sucre Saint-Louis était en bonne voie, son projet d’acquisition de terrain est confirmé. « Nous occuperons 5 ha sur les 10 ha de l’ex-usine : studios, bassin de tournage sous-marin, espace de construction de décors et 6 000 m2de bâtiments réhabilités ou construits dédiés à la formation des jeunes afin que ces derniers soient au plus proche des espaces techniques », poursuit-il. Le tout pourrait être opérationnel fin 2024 ou courant 2025.
Accélérateur de formation
En ce qui concerne les projets formation et formation numérique, la synergie est de pleine actualité pour les quatre lauréats. Ainsi « Les Ateliers de l’Image et du Son », dont les locaux sont actuellement éclatés en plusieurs lieux du centre- ville, se regrouperont dans l’ex- Saint-Louis Sucre. Cette école qui forme depuis 2007 aux métiers du son, du cinéma de l’audiovisuel et du jeu d’acteur financera 10 nouvelles formations afin d’augmenter le taux d’insertion professionnelle incluant l’ouverture des cursus à plus de diversité sociale et culturelle. Pour sa part, l’Université d’Aix-Marseille (AMU) proposera, via une antenne sur place, des développements sur les métiers techniques de la post-production, post-production déléguée et de la réalisation.
Quant à l’école Kourtrajmé, installée à ce jour au Pôle Média Belle-de-Mai, elle rejoindra le lieu en élargissant et certifiant son offre de formation ainsi qu’en accueillant davantage d’élèves. Enfin, La Plateforme, campus méditerranéen du numérique, qui sera implantée non loin, poursuivra sa vocation de formation gratuite, ouverte et sans prérequis, prévoyant une connectivité avec le futur campus digital Théodora. A noter : s’adjoindront également des entités de coworking, des associations professionnelles, etc.
Objectif ? Constituer un écosystème structuré et le plus performant possible… Au service de l’emploi local et des futures retombées économiques.
Quant à l’école Kourtrajmé, installée à ce jour au Pôle Média Belle-de-Mai, elle rejoindra le lieu en élargissant et certifiant son offre de formation ainsi qu’en accueillant davantage d’élèves. Enfin, La Plateforme, campus méditerranéen du numérique, qui sera implantée non loin, poursuivra sa vocation de formation gratuite, ouverte et sans prérequis, prévoyant une connectivité avec le futur campus digital Théodora. A noter : s’adjoindront également des entités de coworking, des associations professionnelles, etc.
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