Réunis sous l’égide de l’Union maritime et Fluviale, la grande famille du shipping s’est retrouvée le 17 septembre à la villa Gaby sur la Corniche à Marseille pour présenter le Pacte d’engagement pour la relance et la compétitivité de la place portuaire. ©N.B.C
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De nouvelles ristournes sur les droits de port navires et des efforts en faveur de la compétitivité et la fiabilité du passage portuaire ont été dévoilée le 17 septembre et « marketées » sous la bannière « Pacte d’engagement pour la relance et la compétitivité de la place portuaire » initiée au lendemain des grèves de janvier et février 2020.
L’Union sacrée entre tous les acteurs ayant permis de bâtir une offre commerciale à destination des compagnies maritimes ayant supprimé ou suspendu leurs lignes régulières. Après avoir mis 5 M€ sur la table en ristournes et autres allègements tarifaires comme les frais de stationnement, le port de Marseille a annoncé un nouveau round de rabais jusqu’en décembre pour ramener les bateaux à bon port.
Ainsi, l’effort commercial du GPMM à hauteur de 6,5 M€ porte notamment sur des réductions de droits de ports aux navires de -50 % pour les porte-conteneurs et de -30% pour les rouliers et navires mixtes (ropax). Les grèves puis la Covid ont détourné les armateurs de Fos et en particulier l’alliance 2M qui a suspendu l’escale à Fos de son service Asie-Méditerranée.
L’UMF par la voix de son président a également annoncé des actions en faveur d’une amélioration de l’interface terre-mer en accélérant la digitalisation notamment. La société d’informatique MGI prend sa part dans cet effort de place en offrant l’adhésion à Ci5 aux importateurs et exportateurs jusqu’à fin décembre.
Depuis six, mois Marseille-Fos a vu ses trafics chuter de 15%. « Nous avons de grosses incertitudes pour l’avenir. Nous vivons une situation inédite. Hormis la Corse dont le trafic a redémarré, les liaisons sur le Maghreb sont sinistrées tout comme la croisière avec un impact sur les services aux navires », a commenté le président du directoire du port de Marseille-Fos Hervé Martel. Si la situation est unique et pourrait durer, « la baisse du commerce international devrait être gérable autour de -10 à -13% en 2020 », a expliqué Paul Tourret, à la tête de l’Institut Supérieur d’Économie Maritime.
Raison pour laquelle, Jean-Claude Sarremejeanne, président de l’Union Maritime et Fluviale de Marseille-Fos invite les 450 sociétés adhérentes à « voir le verre à moitié plein »…
N.B.C
L’Union sacrée entre tous les acteurs ayant permis de bâtir une offre commerciale à destination des compagnies maritimes ayant supprimé ou suspendu leurs lignes régulières. Après avoir mis 5 M€ sur la table en ristournes et autres allègements tarifaires comme les frais de stationnement, le port de Marseille a annoncé un nouveau round de rabais jusqu’en décembre pour ramener les bateaux à bon port.
Ainsi, l’effort commercial du GPMM à hauteur de 6,5 M€ porte notamment sur des réductions de droits de ports aux navires de -50 % pour les porte-conteneurs et de -30% pour les rouliers et navires mixtes (ropax). Les grèves puis la Covid ont détourné les armateurs de Fos et en particulier l’alliance 2M qui a suspendu l’escale à Fos de son service Asie-Méditerranée.
L’UMF par la voix de son président a également annoncé des actions en faveur d’une amélioration de l’interface terre-mer en accélérant la digitalisation notamment. La société d’informatique MGI prend sa part dans cet effort de place en offrant l’adhésion à Ci5 aux importateurs et exportateurs jusqu’à fin décembre.
Depuis six, mois Marseille-Fos a vu ses trafics chuter de 15%. « Nous avons de grosses incertitudes pour l’avenir. Nous vivons une situation inédite. Hormis la Corse dont le trafic a redémarré, les liaisons sur le Maghreb sont sinistrées tout comme la croisière avec un impact sur les services aux navires », a commenté le président du directoire du port de Marseille-Fos Hervé Martel. Si la situation est unique et pourrait durer, « la baisse du commerce international devrait être gérable autour de -10 à -13% en 2020 », a expliqué Paul Tourret, à la tête de l’Institut Supérieur d’Économie Maritime.
Raison pour laquelle, Jean-Claude Sarremejeanne, président de l’Union Maritime et Fluviale de Marseille-Fos invite les 450 sociétés adhérentes à « voir le verre à moitié plein »…
N.B.C