Pas de grand village-chapiteaux sur la plage du Prado du 21 janvier au 21 février 2021, mais une répartition sur trois sites marseillais - l’esplanade du J4 devant le Mucem, la Cité des Arts de la Rue, la Vieille Charité-, ainsi que quelques autres chapiteaux dans les Bouches-du-Rhône, le Var et le Vaucluse, des jauges réduites de moitié, pas de restaurants ni de bars ouverts au public… C’est donc une édition moins festive de la Biennale internationale des arts du cirque (BIAC) qui devrait se dérouler dans la région, préservant toutefois « l’essentiel » de ce festival populaire : l’émotion du public en lien avec les artistes.
« Nous avançons dans le brouillard, mais comme tous les circassiens, nous mettons la tête en bas », a précisé Raquel Rache de Andrade, rappelant que cette manifestation est la suite pérenne de « Cirque en Capitale », événement créé lors de Marseille-Provence 2013. Pour sa part, Guy Carrara a souligné l’équation quasi-impossible « d’en faire plus et pour moins cher… Afin de limiter les dégâts ».
Résultat, à partir du 21 janvier et pendant un mois, devraient se dérouler 68 spectacles dont 29 créations, deux installations, une exposition photo… Le tout donné par 60 compagnies dont 12 internationales et réparti dans 55 structures-partenaires autour d’un artiste-phare, Yoann Bourgeois, co-directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble.
Thématiques mises en lumière lors de cette biennale pas comme les autres ? Les femmes porteuses de projets, le développement durable, la notion de répertoire des arts du cirque. Côté international, le focus sera mis sur l’Europe dans le cadre du projet « CircusLink ».
Soutenue par La Ville de Marseille, le Ministère de la Culture, le Département 13, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, la BIAC bénéficie également du soutien de partenaires privés : la Fondation BNP Paribas, le groupe Accor, la Société marseillaise du Tunnel Prado-Carénage, l’Office du tourisme de Marseille et le transporteur Nap Tourisme. En 2019, pour sa 3ème édition, 114 000 spectateurs (dont 77 500 à Marseille), avaient répondu présent, plaçant ainsi cette biennale au 5ème rang des festivals en France, toutes disciplines confondues.
« Nous avançons dans le brouillard, mais comme tous les circassiens, nous mettons la tête en bas », a précisé Raquel Rache de Andrade, rappelant que cette manifestation est la suite pérenne de « Cirque en Capitale », événement créé lors de Marseille-Provence 2013. Pour sa part, Guy Carrara a souligné l’équation quasi-impossible « d’en faire plus et pour moins cher… Afin de limiter les dégâts ».
Résultat, à partir du 21 janvier et pendant un mois, devraient se dérouler 68 spectacles dont 29 créations, deux installations, une exposition photo… Le tout donné par 60 compagnies dont 12 internationales et réparti dans 55 structures-partenaires autour d’un artiste-phare, Yoann Bourgeois, co-directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble.
Thématiques mises en lumière lors de cette biennale pas comme les autres ? Les femmes porteuses de projets, le développement durable, la notion de répertoire des arts du cirque. Côté international, le focus sera mis sur l’Europe dans le cadre du projet « CircusLink ».
Soutenue par La Ville de Marseille, le Ministère de la Culture, le Département 13, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, la BIAC bénéficie également du soutien de partenaires privés : la Fondation BNP Paribas, le groupe Accor, la Société marseillaise du Tunnel Prado-Carénage, l’Office du tourisme de Marseille et le transporteur Nap Tourisme. En 2019, pour sa 3ème édition, 114 000 spectateurs (dont 77 500 à Marseille), avaient répondu présent, plaçant ainsi cette biennale au 5ème rang des festivals en France, toutes disciplines confondues.