Les propriétaires des grands centres commerciaux vont mettre à disposition des cellules vacantes de leurs actifs © JP
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Hammerson, Klépierre, Mercialys : voilà quelques unes des foncières avec lesquelles la Ville de Marseille s’apprête à nouer un partenariat en vue de lutter contre la vacance commerciale engendrée par la crise sanitaire. Ces grands bailleurs qui détiennent les murs de plusieurs temples du shopping marseillais - Les Terrasses du Port (Hammerson), les centres commerciaux Grand Littoral – Centre Bourse – Prado Shopping (Klépierre), la société Commerces de la République, la SCI Marseille City et la SCI Patrimmo Commerce, la galerie Géant de la Valentine Grand, Croix Rouge, Sainte-Anne (Mercialys) – ont accepté de mettre à disposition d’artisans ou de commerçants des locaux vacants de leurs actifs immobiliers.
Ces utilisateurs qui seront sélectionnés par la municipalité par le truchement d’un appel à projets pourront s’installer gratuitement ou via le versement de loyers modérés dans ces cellules inoccupées des centres commerciaux. « L’ambition est de permettre à des commerçants ou des artisans de tester de nouveaux concepts auprès de la clientèle dans des endroits prisés des chalands », explique Rebecca Bernardi, adjointe marseillaise déléguée au commerce, à l’artisanat, aux noyaux villageois et à l’éclairage public. A raison d’un local par complexe commercial, la ville espère mobiliser une dizaine de cellules au total. Ces murs n’auront aucune difficulté pour trouver preneur selon l’élue qui affirme « avoir recensé près de 150 porteurs de projets en quête de murs pour lancer leur activité ».
Cette convention de partenariat qui sera votée ce 21 mai lors du prochain conseil municipal « est organisée de manière exceptionnelle et transitoire, pour une durée limitée », précise l’élue.
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