©Musée de l'illusion
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Un tunnel Vortex dans lequel on n’arrive pas à avancer, une salle de miroirs déformants, une collection d’hologrammes, une salle renversée, de nombreuses illusions d’optique et autres défis sensoriels… Voilà quelques unes des propositions de cette nouvelle attraction !
Né en 2015 d’une initiative croate qui s’est répandue dans plusieurs villes du monde (Dubaï, Madrid, New York, Toronto, etc.), le concept à mi-chemin entre « pédagogie et divertissement » cible un public très large. Explications de Steven Carnel, directeur des trois musées de l’illusion dans l’Hexagone. « J’ai eu un coup de cœur pour cette idée et je l’ai développée en France, via des partenariats avec l’entreprise croate. Après Paris et Lyon, il était évident de s’implanter à Marseille, cette ville surprenante et bouillonnante d’énergie. Nous ciblons un public de tous âges et de tous milieux. Nous nous adressons aussi bien à la clientèle locale, métropolitaine, régionale (70%) que touristique (30%) ».
Installé sur 680 m2, face aux deux nouveaux restaurants de la place Albert Londres que sont Andia et Forest, l’endroit, assez unique en son genre, espère jouer une synergie « friendly » avec ses célèbres voisins : la Grotte Cosquer, le musée Regards de Provence et le Mucem.
Ouvert tous les jours, avec nocturne jusqu’à 22 h le jeudi, vendredi et samedi, il vise la venue de 100 000 visiteurs pour la première année. Son directeur, en recherche permanente de lieux devant concilier « opportunité immobilière et coup de foudre pour un centre-ville » ne cache pas son désir de s’implanter d’ici quelque temps dans l’ouest de la France.
Né en 2015 d’une initiative croate qui s’est répandue dans plusieurs villes du monde (Dubaï, Madrid, New York, Toronto, etc.), le concept à mi-chemin entre « pédagogie et divertissement » cible un public très large. Explications de Steven Carnel, directeur des trois musées de l’illusion dans l’Hexagone. « J’ai eu un coup de cœur pour cette idée et je l’ai développée en France, via des partenariats avec l’entreprise croate. Après Paris et Lyon, il était évident de s’implanter à Marseille, cette ville surprenante et bouillonnante d’énergie. Nous ciblons un public de tous âges et de tous milieux. Nous nous adressons aussi bien à la clientèle locale, métropolitaine, régionale (70%) que touristique (30%) ».
Installé sur 680 m2, face aux deux nouveaux restaurants de la place Albert Londres que sont Andia et Forest, l’endroit, assez unique en son genre, espère jouer une synergie « friendly » avec ses célèbres voisins : la Grotte Cosquer, le musée Regards de Provence et le Mucem.
Ouvert tous les jours, avec nocturne jusqu’à 22 h le jeudi, vendredi et samedi, il vise la venue de 100 000 visiteurs pour la première année. Son directeur, en recherche permanente de lieux devant concilier « opportunité immobilière et coup de foudre pour un centre-ville » ne cache pas son désir de s’implanter d’ici quelque temps dans l’ouest de la France.