7 salles de cinéma sur 4 niveaux (996 places), une brasserie à la cuisine méridionale, le « Blum », en rez-de-chaussée qui s’ouvre sur une terrasse, un restaurant panoramique, « Les Réformés », au 4e étage et son espace lounge événementiel au 3e… Si les deux restaurants sont encore en pleine finition, les premières séances accueillent désormais les spectateurs dans des salles équipées des dernières technologies en matière de projection laser et de son. Quant à la programmation, elle est éclectique : films grand public, blockbusters, ciné pour enfants, sélection de films art et essai, le tout en VO et VF pour un plein tarif accessible (10 €). Loin d’être seulement un complexe urbain de cinéma, le concept Artplexe propose un vrai lieu de vie : ici, on pourra boire un verre, manger matin, midi et soir, écouter de la musique grâce à la scène itinérante « All that Jazz « (30 novembre : André Manoukian & China Moses), participer à des conférences, voir un spectacle de danse. A noter : Artplexe peut se révéler aussi un lieu propice au business grâce à ses salles dotées de la technique nécessaire et de son espace dédié aux événements.
Commentaires de Philippe Dejust, président de la SAS Artplexe Canebière, lequel fut 4e opérateur français avec son groupe Cap Cinéma avant qu’il soit vendu à CGR fin 2017. « J’ai gardé ce projet situé en centre-ville de Marseille destiné particulièrement aux 70 000 habitants vivant autour. Il s’agit d’un complexe de cinéma le plus moderne possible, intégré dans son environnement. On y accueillera de grands noms du jazz, de la danse, du rock, mais aussi des expositions d’une durée quatre à six mois (actuellement : l’artiste photographe Le Turk). Nous espérons, à terme, 300 000 à 400 000 personnes par an ».
Cette ouverture porte désormais à 13 le nombre de cinémas de la cité phocéenne pour 74 écrans et 11 631 fauteuils, un nombre toujours insuffisant par rapport à bien des grandes villes françaises…
Imaginé par l’architecte Jean-Michel Wilmotte (agence Wilmotte & associés), relayé sur place par l’agence d’architecture MAP et réalisé par le groupe GCC, le projet d’un investissement de 15 M€ (hors aménagement des restaurants et espace lounge) a été soutenu par la Ville de Marseille, le Département des Bouches-du-Rhône et la métropole Aix-Marseille-Provence. Un bail emphytéotique de 57 ans a été signé entre la Ville de Marseille et Artplexe Canebière avec un loyer annuel fixe de 15 000 € (HT) complété par un pourcentage variable indexé sur les résultats.
Commentaires de Philippe Dejust, président de la SAS Artplexe Canebière, lequel fut 4e opérateur français avec son groupe Cap Cinéma avant qu’il soit vendu à CGR fin 2017. « J’ai gardé ce projet situé en centre-ville de Marseille destiné particulièrement aux 70 000 habitants vivant autour. Il s’agit d’un complexe de cinéma le plus moderne possible, intégré dans son environnement. On y accueillera de grands noms du jazz, de la danse, du rock, mais aussi des expositions d’une durée quatre à six mois (actuellement : l’artiste photographe Le Turk). Nous espérons, à terme, 300 000 à 400 000 personnes par an ».
Cette ouverture porte désormais à 13 le nombre de cinémas de la cité phocéenne pour 74 écrans et 11 631 fauteuils, un nombre toujours insuffisant par rapport à bien des grandes villes françaises…
Imaginé par l’architecte Jean-Michel Wilmotte (agence Wilmotte & associés), relayé sur place par l’agence d’architecture MAP et réalisé par le groupe GCC, le projet d’un investissement de 15 M€ (hors aménagement des restaurants et espace lounge) a été soutenu par la Ville de Marseille, le Département des Bouches-du-Rhône et la métropole Aix-Marseille-Provence. Un bail emphytéotique de 57 ans a été signé entre la Ville de Marseille et Artplexe Canebière avec un loyer annuel fixe de 15 000 € (HT) complété par un pourcentage variable indexé sur les résultats.