Isabelle Martinon, Sandrine Motte, Émilie de Lombares Laurence Freche. ©NBC
Pionnier, le secteur bancaire a dès les années 80 fait appel à l’intelligence artificielle. Avec le bond technologique opéré ces dernières années, l’IA ne se contente plus de la notation des actifs, « elle offre un parcours client personnalisé et fait évoluer les missions des collaborateurs vers des fonctions à valeur ajoutée », a témoigné Isabelle Martinon, directrice SG SMC, ce 10 octobre, lors d’une table ronde-animée par Laurence Freche, présidente du réseau des Femmes de l’UPE13.
Le recentrage vers des missions à valeur ajoutée s‘opère également chez Onet avec l’avènement de la robotique. « Nous développons beaucoup. Les robots dans le nucléaire évitent l’exposition humaine aux radiations. Remplacer des postes d’accueil par des hologrammes avec de l’IA, de la technologie ne permettra pas de détecter la bonne ou mauvaise humeur, ce que parvient à faire l’intelligence humaine », souligne Émilie de Lombares, présidente du directoire d’Onet. Pour Sandrine Motte, directrice générale des Eaux de Marseille, l’intelligence collective coule de source en matière de sobriété hydrique. Elle s‘attache à sensibiliser les populations à une meilleure gestion de l’eau potable. « Mon rôle consiste à embarquer les parties prenantes sur le sujet de la sobriété hydrique. Je suis convaincue de la nécessité d’embarquer les plus jeunes à préserver la ressource en eau », ajoute-t-elle, tout en rappelant le rôle des compteurs intelligents.
Forcément, à l’évocation du leadership au féminin, les traits de caractères genrés reviennent sur le tapis : « Les femmes créent du lien, sont naturellement empathiques, elles ont l’esprit pratique et n’ont pas de difficultés avec leurs ego », souligne Laurence Freche. Ni masculin, ni féminin, Émilie de Lombares veut « décoller les étiquettes » en valorisant les traits de caractère sans les pondérer en fonction du genre… Non la force, la détermination et le courage ne sont pas l’apanage des hommes !
Le recentrage vers des missions à valeur ajoutée s‘opère également chez Onet avec l’avènement de la robotique. « Nous développons beaucoup. Les robots dans le nucléaire évitent l’exposition humaine aux radiations. Remplacer des postes d’accueil par des hologrammes avec de l’IA, de la technologie ne permettra pas de détecter la bonne ou mauvaise humeur, ce que parvient à faire l’intelligence humaine », souligne Émilie de Lombares, présidente du directoire d’Onet. Pour Sandrine Motte, directrice générale des Eaux de Marseille, l’intelligence collective coule de source en matière de sobriété hydrique. Elle s‘attache à sensibiliser les populations à une meilleure gestion de l’eau potable. « Mon rôle consiste à embarquer les parties prenantes sur le sujet de la sobriété hydrique. Je suis convaincue de la nécessité d’embarquer les plus jeunes à préserver la ressource en eau », ajoute-t-elle, tout en rappelant le rôle des compteurs intelligents.
Forcément, à l’évocation du leadership au féminin, les traits de caractères genrés reviennent sur le tapis : « Les femmes créent du lien, sont naturellement empathiques, elles ont l’esprit pratique et n’ont pas de difficultés avec leurs ego », souligne Laurence Freche. Ni masculin, ni féminin, Émilie de Lombares veut « décoller les étiquettes » en valorisant les traits de caractère sans les pondérer en fonction du genre… Non la force, la détermination et le courage ne sont pas l’apanage des hommes !