Vista ? C’est en cherchant à acheter une alternative responsable aux ballons de football que Jean-Baptiste de Tourris, son fondateur, a fondé l'entreprise. Un ballon de foot classique représente 27 000 tonnes de déchets par an, 100 % de plastique,
une empreinte carbone conséquente et des normes UE non respectées pour les jouets pour enfants… « Les amateurs de ballon rond sont obligés de se contenter de modèles pétro-sourcés et fabriqués à l’étranger. Mais cette approche s’avère polluante et ne crée aucun emploi en France » relève le créateur d’entreprise.
Les ballons Vista, composés de 50 % de plastique en moins que les ballons traditionnels, diminuent l’empreinte carbone par deux, ils ont l’avantage de se réparer, d’être composés de matériaux plus recyclables et de miser sur l’insertion. En lien avec la seule ONG « Alive and Kicking » basée au Kenya qui fabrique des ballons, Vista a également ouvert un atelier d’insertion à Marseille, La Ficelle. Objectif ? Résoudre l’équation entre emplois locaux et produits performants, développement durable et prix cohérents. La qualité est au rendez-vous puisque avec une couture main, les ballons sont conçus pour résister à 2500 shoots à 50 km /heure contre un mur en béton. « En tant qu’entreprise de l’ESS, Vista est la seule marque en France à affirmer la prise en compte de l’impact social et environnemental jusque dans ses statuts. Mieux : l’atelier est aussi un showroom qui permet à la communauté Vista de venir découvrir les ballons » développe Jean -Baptiste de Tourris. Vista recrute au sein de son atelier des talents, sans expertise, ni savoir faire mais formés sur place durant 3 mois ainsi que les publics habituellement éloignés de l’emploi, chômeurs de longue durée, personnes en situation de handicap (léger), réfugiés, ou jeunes des quartiers. En terme d’eco-responsabilité, l’entreprise va plus loin et vise le zéro déchet. Tous les ballons en fin de vie sont récupérés gratuitement pour être réparés ou intégrer les programmes R&D de recyclage.
une empreinte carbone conséquente et des normes UE non respectées pour les jouets pour enfants… « Les amateurs de ballon rond sont obligés de se contenter de modèles pétro-sourcés et fabriqués à l’étranger. Mais cette approche s’avère polluante et ne crée aucun emploi en France » relève le créateur d’entreprise.
Les ballons Vista, composés de 50 % de plastique en moins que les ballons traditionnels, diminuent l’empreinte carbone par deux, ils ont l’avantage de se réparer, d’être composés de matériaux plus recyclables et de miser sur l’insertion. En lien avec la seule ONG « Alive and Kicking » basée au Kenya qui fabrique des ballons, Vista a également ouvert un atelier d’insertion à Marseille, La Ficelle. Objectif ? Résoudre l’équation entre emplois locaux et produits performants, développement durable et prix cohérents. La qualité est au rendez-vous puisque avec une couture main, les ballons sont conçus pour résister à 2500 shoots à 50 km /heure contre un mur en béton. « En tant qu’entreprise de l’ESS, Vista est la seule marque en France à affirmer la prise en compte de l’impact social et environnemental jusque dans ses statuts. Mieux : l’atelier est aussi un showroom qui permet à la communauté Vista de venir découvrir les ballons » développe Jean -Baptiste de Tourris. Vista recrute au sein de son atelier des talents, sans expertise, ni savoir faire mais formés sur place durant 3 mois ainsi que les publics habituellement éloignés de l’emploi, chômeurs de longue durée, personnes en situation de handicap (léger), réfugiés, ou jeunes des quartiers. En terme d’eco-responsabilité, l’entreprise va plus loin et vise le zéro déchet. Tous les ballons en fin de vie sont récupérés gratuitement pour être réparés ou intégrer les programmes R&D de recyclage.