Aménagement - Immobilier
Alors que chaque année en France, 10 millions de tonnes de fruits et légumes sont jetés avant même d’arriver dans nos assiettes, Pulpe de Vie, entreprise fondée en 2009 par Julie Ducret, récupère les invendus auprès des producteurs pour les transformer en produits cosmétiques et d’hygiène. Partie prenante de la Convention des entreprises pour le climat, l'entreprise est accompagnée par le dispositif CEDRE et soutenue par la Région Sud. Elle compte profiter de la Journée mondiale du climat pour renforcer son engagement éco-responsable et afficher quatre nouveaux objectifs.
Le premier consiste à réduire, d’ici 2030, son impact carbone dans des proportions importantes en s'engageant à employer au minimum 90 % de matières premières d’origine française, à baisser sa consommation d’eau dans la fabrication de ses produits, à utiliser des emballages avec le moins de plastique possible et à mettre en place une logistique et des modèles de livraison les plus vertueux possible. La marque souhaite également coopérer avec d'autres acteurs de son secteur qui développent la même démarche.
La deuxième résolution concerne l'achat des matières premières. Aujourd’hui, cet achat aux producteurs français de fruits et légumes déclassés leur apporte 20 % de revenus complémentaires. Pulpe de Vie veut aller plus loin en accompagnant chaque agriculteur dans un modèle de culture « régénérative » au sein de son exploitation en l'aidant à limiter au maximum l’impact environnemental. L'objectif d’ici 2030 sera de développer un réseau d'une centaine de producteurs prêts à adopter ce modèle, avec une gestion précise de la consommation d’eau. Pour ce faire, Pulpe de Vie a mis en place un partenariat avec la start-up marseillaise Telaqua, spécialiste de la gestion des irrigations.
Le premier consiste à réduire, d’ici 2030, son impact carbone dans des proportions importantes en s'engageant à employer au minimum 90 % de matières premières d’origine française, à baisser sa consommation d’eau dans la fabrication de ses produits, à utiliser des emballages avec le moins de plastique possible et à mettre en place une logistique et des modèles de livraison les plus vertueux possible. La marque souhaite également coopérer avec d'autres acteurs de son secteur qui développent la même démarche.
La deuxième résolution concerne l'achat des matières premières. Aujourd’hui, cet achat aux producteurs français de fruits et légumes déclassés leur apporte 20 % de revenus complémentaires. Pulpe de Vie veut aller plus loin en accompagnant chaque agriculteur dans un modèle de culture « régénérative » au sein de son exploitation en l'aidant à limiter au maximum l’impact environnemental. L'objectif d’ici 2030 sera de développer un réseau d'une centaine de producteurs prêts à adopter ce modèle, avec une gestion précise de la consommation d’eau. Pour ce faire, Pulpe de Vie a mis en place un partenariat avec la start-up marseillaise Telaqua, spécialiste de la gestion des irrigations.
Devenir entreprise à mission
Pour sensibiliser le plus grand nombre au respect de la biodiversité et de l’environnement, une troisième initiative concernera la création d’un éco-lieu à visée pédagogique, avec champs, vergers et potagers ouverts au grand public. En parallèle, des changements en interne sont prévus avec la mise en place d’une triple comptabilité qui intégrera des critères sociaux et environnementaux. Les indicateurs de performance ne seront plus seulement établis sur la base de la rentabilité et du profit, mais ils tiendront compte également de ces critères.
En pratique, la marque est déjà très active en matière de respect de l'environnement : tri et gestion de ses déchets, réutilisation des cartons de livraison, achat de matériel informatique reconditionné, etc. Elle va prochainement intégrer un pôle RSE dans son comité en direction. « Nous sommes véritablement engagés dans une démarche holistique. Il s’agit de repenser la beauté pour créer un lien intime avec le vivant et les sols », commente Julie Ducret. Pulpe de Vie a reçu, cette année, trois trophées RSE pour son engagement et l'entreprise travaille désormais à rédiger sa "raison d'être" pour devenir entreprise à mission.
En pratique, la marque est déjà très active en matière de respect de l'environnement : tri et gestion de ses déchets, réutilisation des cartons de livraison, achat de matériel informatique reconditionné, etc. Elle va prochainement intégrer un pôle RSE dans son comité en direction. « Nous sommes véritablement engagés dans une démarche holistique. Il s’agit de repenser la beauté pour créer un lien intime avec le vivant et les sols », commente Julie Ducret. Pulpe de Vie a reçu, cette année, trois trophées RSE pour son engagement et l'entreprise travaille désormais à rédiger sa "raison d'être" pour devenir entreprise à mission.
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
