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Vincent Gaymard à la barre du Sofitel Marseille Vieux-Port


Rédigé le Mercredi 2 Mars 2022 par Marie-Odile Helme


Loin d’être un inconnu dans le monde de l’hôtellerie marseillaise, le nouveau capitaine de l’emblématique hôtel 5 étoiles veut "réveiller la belle endormie" pour lui redonner sa vocation "stratégique".


Photo©MOH
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Depuis un mois, il a quitté le Pullman Aéroport (appelé à devenir un Hilton d’ici la fin de l’année) qu’il dirigeait depuis 2015 pour s’amarrer au bord du Lacydon, à la suite de Paul Barthe. Marseillais d’adoption depuis plus de 20 ans, très impliqué dans différents mandats locaux (président Provence du GNC*, vice-président UMIH 13 et du CRT, élu à la CCIAMP, investi dans les conseils d’administration des offices de tourisme d’Aix-en-Provence, Marseille et de Provence Côte d’Azur Events), Vincent Gaymard prend son nouveau poste comme un véritable challenge. " Je vais travailler à donner à cet hôtel un look plus trendy et plus ouvert vers une clientèle quadra, quinqua… Je souhaite également qu’il redevienne le centre politique et névralgique de la ville qu’il a été. Avec cette vue à la fois sur la cité et sur la mer, c’est le plus beau panorama de Marseille ! Sans compter notre chef, Dominique Frérard, l’un des meilleurs" , s’enthousiasme-t-il. Et d’ajouter : " Je veux redonner cet hôtel aux Marseillais et participer au rayonnement du territoire, n’oublions pas que le tourisme représente 14% du PIB de la région".  Des objectifs qu’il compte atteindre en s’appuyant solidement sur son équipe, mais aussi sur l’innovation et la RSE.
En avril prochain, le nouveau directeur (entré chez Accor en 2002) qui possède une bonne vision du territoire, prendra aussi les rênes du Novotel Vieux-Port afin de former un ensemble global avec une vraie complémentarité entre les deux marques positionnées sur des segments différents. Alors que le Sofitel (134 chambres) enregistre un taux d’occupation "bien au-dessus de 50% et que la tendance est plutôt bonne" , Vincent Gaymard estime que toutes les forces économiques doivent œuvrer ensemble, notamment dans la perspective des grands événements à venir : la Coupe du monde de rugby en 2023, les JO, l’année suivante. 
 
*Groupement national des chaînes




Marie-Odile Helme

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