Opérationnelle depuis quelques jours, l’appli Sportall propose un accès inédit à des diffusions d’événements sportifs en direct et à un large éventail de vidéos à la demande. Explications de Thierry Boudard, son Pdg. « Expert de la vidéo sur Internet, et pratiquant éclectique de sports, j’ai eu l’occasion de filmer des régates. Constatant qu’il manquait une solution intermédiaire entre la diffusion par les grandes chaines télé et les petites vidéos sur You tube, nous avons décidé, avec quatre autres co-fondateurs de créer Sportall. Objectif ? Proposer événements en live et vidéos dans une vingtaine de sports. Récent exemple : le départ du Vendée Globe, qui sera suivi d’images et de reportages inédits sur la course ».
Ce n’est pas un hasard si l’appli est lancée pendant la pandémie de Covid 19, car la période, alternant couvre-feux et confinements, prive les fans d’aller dans les stades et salles de sport. D’où une progression de la consommation de vidéos… Natation, water-polo, voile, lutte, ski, baseball, foot US, handisport, etc. ont déjà leur place sur Sportall !
Différent du modèle économique qui consiste à acheter les droits de diffusion comme le font traditionnellement les chaines télé, le modèle de Sportall est basé sur le partage des revenus avec les ayants-droits sportifs (fédérations, clubs), lesquels disposent d’outils (de la captation jusqu’à la diffusion) et peuvent être accompagnés techniquement pour la production en « live ».
Quant à l’appli, gratuite à ce jour, elle est financée par la publicité. « Par la suite, nous lancerons un programme payant Premium sans pub, avec contenu exclusif, etc. », poursuit-il.
Soutenue par l’incubateur multimédia Belle de Mai Marseille, l’incubateur Le Tremplin (Paris&Co), Région Sud Investissement, le Crédit Agricole Alpes-Provence et Bpifrance (bourse French Tech et prêt pour programme R&D innovation technique), la start-up a déjà effectué une première levée de fonds (315 000 €) auprès du monde sportif. Elle est en train de réaliser un deuxième tour de table, souhaitant lever près d’1 M€.
Ce n’est pas un hasard si l’appli est lancée pendant la pandémie de Covid 19, car la période, alternant couvre-feux et confinements, prive les fans d’aller dans les stades et salles de sport. D’où une progression de la consommation de vidéos… Natation, water-polo, voile, lutte, ski, baseball, foot US, handisport, etc. ont déjà leur place sur Sportall !
Différent du modèle économique qui consiste à acheter les droits de diffusion comme le font traditionnellement les chaines télé, le modèle de Sportall est basé sur le partage des revenus avec les ayants-droits sportifs (fédérations, clubs), lesquels disposent d’outils (de la captation jusqu’à la diffusion) et peuvent être accompagnés techniquement pour la production en « live ».
Quant à l’appli, gratuite à ce jour, elle est financée par la publicité. « Par la suite, nous lancerons un programme payant Premium sans pub, avec contenu exclusif, etc. », poursuit-il.
Soutenue par l’incubateur multimédia Belle de Mai Marseille, l’incubateur Le Tremplin (Paris&Co), Région Sud Investissement, le Crédit Agricole Alpes-Provence et Bpifrance (bourse French Tech et prêt pour programme R&D innovation technique), la start-up a déjà effectué une première levée de fonds (315 000 €) auprès du monde sportif. Elle est en train de réaliser un deuxième tour de table, souhaitant lever près d’1 M€.