Aménagement - Immobilier
L'équipe du Grand Bain sera cette année au Palais du Pharo ©Fabienne Berthet
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L’édition 2023 du Grain Bain baptisée « une tech qui nous rassemble » milite pour une technologie englobante, accessible à tous et motrice de la transition écologique. Une occasion pour les organisateurs, de faire d’Aix-Marseille, l’acteur méditerranéen de référence au service de l’impact. Le mot est donné, « nous voulons être les acteurs et actrices du changement, questionner les avancées de la tech, son influence sur notre monde et, ensemble, proposer des solutions concrètes pour répondre aux grands enjeux sociaux et environnementaux de notre époque » évoquent les organisateurs.
Avec plus de 1 000 participants, l’objectif est de promouvoir la collaboration, l’échange d’idées et la création de synergies positives, en faveur d’une innovation inclusive et durable pour façonner un avenir meilleur. Au programme ? Des conférences sur l’impact des startups sur les modèles sociaux, « Biomimétisme et tech régénérative : comment changer le paradigme de nos modèles de croissance ? », « Comment construire et accompagner l’avenir social et responsable de la tech ? », ainsi que des masterclass, des ateliers d’intelligence collective et un "showroom des expériences" en présence de Clara Chappaz, Mission French Tech, Thierry Baril d’Airbus, Karim Amellal, ambassadeur de la Méditerranée, Raphaël Enthoven et bien d’autres.
L’occasion aussi de mettre en avant les chiffres recueillis par l’Observatoire de la French Tech Aix Marseille 2022 et de faire un bilan de l’existant et de la bonne santé de l’innovation sur le territoire. 52 % des startups du territoire se trouvent à Marseille, 64 % des startups ont moins de 5 ans et 62 % des dirigeants ont fait le choix d’entreprendre à plusieurs contre 60 % en 2020. La moyenne d’âge est de 44 ans est un tiers entretient une activité à l’export. Les secteurs d’activité les plus représentés sont les cleantech, le tourisme et la santé. Autre enseignement, 86 % des startups sont créatrices d’emploi contre 67 % en 2020. 41 % ont levé des fonds depuis leur création avec un montant global des ces dernières s’élevant à 330 millions d’euros en 2022, +4 % par rapport à 2022.
Notons celles d’Imcheck Therapeutics, de Volta Médical et d’HiSylabs qui représentent 145 millions d’euros. Reste un point faible, seules 6 % des startups ont réalisé un bilan carbone. 23 % prévoient d’en réaliser un, 66 % n’en ont pas encore fait.
Avec plus de 1 000 participants, l’objectif est de promouvoir la collaboration, l’échange d’idées et la création de synergies positives, en faveur d’une innovation inclusive et durable pour façonner un avenir meilleur. Au programme ? Des conférences sur l’impact des startups sur les modèles sociaux, « Biomimétisme et tech régénérative : comment changer le paradigme de nos modèles de croissance ? », « Comment construire et accompagner l’avenir social et responsable de la tech ? », ainsi que des masterclass, des ateliers d’intelligence collective et un "showroom des expériences" en présence de Clara Chappaz, Mission French Tech, Thierry Baril d’Airbus, Karim Amellal, ambassadeur de la Méditerranée, Raphaël Enthoven et bien d’autres.
L’occasion aussi de mettre en avant les chiffres recueillis par l’Observatoire de la French Tech Aix Marseille 2022 et de faire un bilan de l’existant et de la bonne santé de l’innovation sur le territoire. 52 % des startups du territoire se trouvent à Marseille, 64 % des startups ont moins de 5 ans et 62 % des dirigeants ont fait le choix d’entreprendre à plusieurs contre 60 % en 2020. La moyenne d’âge est de 44 ans est un tiers entretient une activité à l’export. Les secteurs d’activité les plus représentés sont les cleantech, le tourisme et la santé. Autre enseignement, 86 % des startups sont créatrices d’emploi contre 67 % en 2020. 41 % ont levé des fonds depuis leur création avec un montant global des ces dernières s’élevant à 330 millions d’euros en 2022, +4 % par rapport à 2022.
Notons celles d’Imcheck Therapeutics, de Volta Médical et d’HiSylabs qui représentent 145 millions d’euros. Reste un point faible, seules 6 % des startups ont réalisé un bilan carbone. 23 % prévoient d’en réaliser un, 66 % n’en ont pas encore fait.
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